le désir n'a pas de légende

Passé le genou où la main se creuse comme une semence qui germe en soulevant un peu la terre, je vais vers ton ventre comme vers une ruche endormie. Plus haut ta peau est si claire que les jambes en sont nues pour tout le corps et mon regard s'y s'use comme au plus tranchant d'un éclat de soleil. Au-delà il y a ta lingerie qui sert à t'offrir et à colorer mon désir. Tes cuisses, lisibles de toute leur soie, se desserrent et je vois la ligne de partage de ta chair. Géants de la sensation, mes doigts vont se fermer sur le seul point du monde où se carbonisent des hauteurs en… Pročitajte više

Objavio/la octave69 Prije 8 godina/e 3